Cas de force majeure
Mon petit doigt me dit qu’on a tort de mettre notre histoire à l’index et qu’au lieu de se tourner les pouces chacun de notre côté on pourrait marcher à nouveau main dans la main.
Chaque jour une pensée, parce que je pense bien au moins une fois par jour...
Mon petit doigt me dit qu’on a tort de mettre notre histoire à l’index et qu’au lieu de se tourner les pouces chacun de notre côté on pourrait marcher à nouveau main dans la main.
On en est venu aux mains, faut croire qu’on n’était pas sur la même longueur d’ongle.
Prendre ses rêves pour des réalités, c'est toujours mieux que de réaliser qu'on n'a pas de rêves.
On me demande d’observer le silence. Moi je veux bien, mais il est où le silence ?
Je devrais peut-être me décrocher un poste de standardiste, histoire de ramasser l’argent à l’appel.
C’est quand on est au pied du mur qu’on s’aperçoit que les murs ont des orteils.
A force d'être en froid, on a fini par se prendre en grippe.
J’ai la pensée à fleur de mots, ce doit être ce qu’on appelle un afleurisme.
Nous avons tous un cœur en or, la preuve, il est situé quelque part entre la peau des fesses et les yeux de la tête.